jeudi 28 septembre 2006

Présentation du blog



Ceux qui me connaissent savent déjà de quoi il s'agira dans ce blog.

1. Des coup de gueules car j'adore me défouler/ en plus psychoanalysis gratos;

2. Des élucubrations théoriques car je suis un maniaque des élucubrations théoriques;

3. Jimi Hendrix car c'est le mec qui a tout compris sans rien étudier;

4. Mon théorème sur le pourcentage de conneries que débalent les gens; et ma théorie générale des complémentarités.

Trêve de plaisanteries, dans ce blog, il s’agira d’articles volontiers fantaisistes, délirant à souhait, parfois plus sérieux sans jamais être franchement engagés. Ils ne reflètent ni des opinions ni des croyances, mais une imagination, des idées temporaires, des suggestions. Tout comme les aphorismes ne sont pas des vérités absolues mais des observations passagères que l’on estime un moment donné générales ou généralisables. Il s’agira donc moins de contenu réel que de propositions potentielles. Ce doute appliqué a deux buts : une grande liberté de discours de ma part; une large place à la critique des lecteurs.

Les convictions ne sont pas mon terrain de jeu favori. Les convictions, l’engagement, sont les domaines des théologiens et des politiciens. Les autres, les philosophes interrogent, les scientifiques observent et déduisent, les littéraires délirent et racontent, que les psychologues étiquètent et enferment.
Il n’y aura pas non plus de jugement. Le jugement a ses spécialistes, les juges. C’est premièrement la chose la moins aisée et la plus lourde qui soit. C’est hélas ce que s’empressent de faire la plupart d’entre nous, se croyant tous, de droit naturel, l’autorité et la qualité à le faire. Or cela porte un nom, un mot grave et pesant, un terme antidémocratique et injuste : le préjugé. La chose la plus inutile ou néfaste qui soit. Le préjugé ou jugement arbitraire, obscur ou carrément malfaisant, est l’outil de propagande favoris des régimes tyranniques, l’instrument idoine de l’Inquisition, ou encore le fondement de l’extrémisme fasciste ou religieux. En temps de guerre sur la base de préjugés répandus on diabolise l’ennemi pour mieux le haïr. Sectaire, corrompu, venimeux, belliqueux. Il a ses amateurs et ils sont nombreux.


mercredi 27 septembre 2006

Structure non hiérarchique



Voilà tout est dit. Les structures en réseaux ne sont pas une révolution en soi, certes. En fait, elle se rapprochent davantage de notre fonctionnement cérébral; avec ceci de commun: " l'emmergence du réseau " (mirci Wiki). "La conscience est l'emmergence du réseau neuronnal" (re ;) Wiki). C'est pas esssstraordinaire?
Mais elles ne sont pas hiérarchiques. J'adore ce terme que l'on associe souvent à la structure pyramidale, donc ça a toujours été, et donc ça sera toujours, comme l'esclavage. Regardez, depuis les romains, depuis avant les romains, mêmes l'Egypte antique n'a pu bâtir ses pyramides sans le secour de l'escalavage... BEN voyons ! Ces soi-disant "esclaves" ils mangenait mieux que ... oui? les Canadiens et les Anglais réunis / oui bonne réponse! D'autant plus que l'on doit sans doutes à ces derniers cette merveilleuse interprétation.
Ce qu'il y a de proprement surprenant avec les réseaux, est qu'il en emmerge quelque chose d'une autre nature, et qui ne se trouve en aucune de ses cellules. Cela est d'autant plus interressant nous sommes arrivés à créer une structure complexe, intelligente et efficiente, qui sans obéir à personne, satisfait aux besoins de tous. Laquelle, de surcroît, reflète l'âme de l'humanité: la conscience; sa conscience?
Ce qu'il peut y avoir de révolutionnaire, c'est la correspondance qui peut se faire entre ces points communs: un cerveau, des cerveaux, un réseau non-hiérarchique, and so on.